Trois nouvelles pour commencer votre semaine : 20 juin
Hunter Biden hit with federal tax and firearm charges
(Financial Times)
Quelques jours seulement après que son père, Joe Biden, ait organisé le premier rassemblement de sa campagne pour l'élection présidentielle de 2024, Hunter Biden a plaidé coupable de délits fiscaux criminels.
Selon un document déposé au tribunal mardi, Hunter Biden a été accusé de deux chefs d'accusation de refus délibéré de payer l'impôt fédéral sur le revenu.
Il a également accepté de signer un "accord de déjudiciarisation avant le procès" concernant une autre accusation selon laquelle il aurait détenu illégalement ou habituellement une arme de poing tout en abusant d'une "substance contrôlée". Dans le cadre de ces accords, les prévenus sont souvent orientés vers des services d'intérêt général afin d'éviter les récidives.
JPMorgan poursuivie par le constructeur du centre commercial American Dream pour travail non rémunéré
(Bloomberg)
Pour récupérer plus de 30 millions de dollars de travaux non payés et d'intérêts courus sur le projet, le directeur de la construction du centre commercial et du complexe de divertissement American Dream dans les Meadowlands du New Jersey a intenté une action en justice contre JPMorgan Chase & Co.
Selon la plainte déposée le 15 juin devant un tribunal fédéral de New York, la société PCL Construction Services, basée à Denver, affirme que JPMorgan, qui a mis en place un prêt à la construction et agit en tant qu'agent administratif pour le promoteur d'American Dream, Ameream, est tenue de payer la facture si le promoteur ne s'exécute pas.
Selon la plainte de PCL Construction Services, Ameream connaît actuellement des difficultés financières. "L'agent a maintenant l'obligation contractuelle d'avancer les montants dus et exigibles qu'Ameream n'a pas payés lorsqu'ils sont devenus exigibles. Or, l'agent ne l'a pas fait".
Selon une étude, l'IA générative peut ajouter 4,4 billions de dollars à la valeur de l'économie mondiale
(The New York Times)
L'une des prévisions les plus optimistes concernant les implications économiques de cette technologie en plein essor est que l'"intelligence artificielle générative" augmentera la valeur de l'économie mondiale de 4,4 billions de dollars par an.
Le document du McKinsey Global Institute affirme que l'IA générative, qui comprend des chatbots comme ChatGPT capables de produire du texte en réponse à des commandes, peut accroître la productivité en libérant 60 à 70 % du temps des travailleurs grâce à l'automatisation de leur travail. Selon les estimations, entre 2030 et 2060, l'automatisation remplacera la moitié de la main-d'œuvre.
Une prédiction précédente de McKinsey indiquait qu'entre 2035 et 2075, 50 % du travail serait automatisé. Toutefois, la puissance des outils d'IA générative, qui ont fait irruption sur la scène technologique l'année dernière, a accéléré le pronostic de l'entreprise.
